Quel sont les avantages et les incovénients des cours à format vidéos ou vidéos conférences, d'après moi?
L'ordre de cette question n'est autre qu'une question d'ordre anthropologique. Yves Chevalards dans son travail; définit bien 4 choses importantes dans APPROCHE ANTHROPOLOGIQUE DU RAPPORT AU SAVOIR ET DIDACTIQUE DES MATHEMATIQUES. Veuillez rassuré que ce que je vais donné ici n'est pas du tout mathématiques. Elles fondent les champs de réflexions sur lesquels nous éprouvons normalement si nous faisons bon usage des ressources mise à notre disposition nous devons répondre à la question soulevée ci-dessus de façon noble.
En théorie anthropologique du didactique,
1. la première notion fondamentale est celle d’objet : est objet toute entité, matérielle ou immatérielle, qui existe pour au moins un individu. Tout est donc objet, y compris les personnes.
2. la deuxième notion fondamentale est celle de rapport personnel d’un individu x à un objet o, expression par laquelle on désigne le système, noté R(x, o), de toutes les interactions que x peut avoir avec l’objet o – que x le manipule, l’utilise, en parle, en rêve, etc. On dira que o existe pour x si le rapport personnel de x à o est « non vide », ce qu’on note R(x, o) ≠ ∅.
3. La troisième notion fondamentale, celle de personne, est alors le couple formé par un individu x et le système de ses rapports personnels R(x, o), à un moment donné de l’histoire de x. Le mot de personne, tel qu’on l’emploie ici, ne doit pas faire illusion : tout individu est une personne, y compris le tout petit enfant, l’infans (étymologiquement, celui qui ne parle pas encore). Bien entendu, au cours du temps, le système des rapports personnels de x évolue : des objets qui n’existaient pas pour lui se mettent à exister ; d’autres cessent d’exister ; pour d’autres enfin le rapport personnel de x change. Dans cette évolution, l’invariant est l’individu ; ce qui change est la personne.
4. Pour expliquer la formation et l’évolution de l’univers cognitif d’une personne x, il convient d’introduire une quatrième notion fondamentale, celle d’institution. Une institution I est un dispositif social « total », qui peut certes n’avoir qu’une extension très réduite dans
l’espace social (il existe des « micro-institutions »), mais qui permet – et impose – à ses sujets, c’est-à-dire aux personnes x qui viennent y occuper les différentes positions p offertes dans I, la mise en jeu de manières de faire et de penser propres.
Ainsi nous sommes neutres à déterminer les avantages et les inconvénients selon les institutions à proprement dits.
Les institutions | les avantages | les inconvenients
Neuroéducation | les cours en formats videos courtes | les cours en formats vidéos longues
Production de vidéos | contenu de vidéos réponds au attentes des visionneurs | contenu non approprié
L'ordre de cette question n'est autre qu'une question d'ordre anthropologique. Yves Chevalards dans son travail; définit bien 4 choses importantes dans APPROCHE ANTHROPOLOGIQUE DU RAPPORT AU SAVOIR ET DIDACTIQUE DES MATHEMATIQUES. Veuillez rassuré que ce que je vais donné ici n'est pas du tout mathématiques. Elles fondent les champs de réflexions sur lesquels nous éprouvons normalement si nous faisons bon usage des ressources mise à notre disposition nous devons répondre à la question soulevée ci-dessus de façon noble.
En théorie anthropologique du didactique,
1. la première notion fondamentale est celle d’objet : est objet toute entité, matérielle ou immatérielle, qui existe pour au moins un individu. Tout est donc objet, y compris les personnes.
2. la deuxième notion fondamentale est celle de rapport personnel d’un individu x à un objet o, expression par laquelle on désigne le système, noté R(x, o), de toutes les interactions que x peut avoir avec l’objet o – que x le manipule, l’utilise, en parle, en rêve, etc. On dira que o existe pour x si le rapport personnel de x à o est « non vide », ce qu’on note R(x, o) ≠ ∅.
3. La troisième notion fondamentale, celle de personne, est alors le couple formé par un individu x et le système de ses rapports personnels R(x, o), à un moment donné de l’histoire de x. Le mot de personne, tel qu’on l’emploie ici, ne doit pas faire illusion : tout individu est une personne, y compris le tout petit enfant, l’infans (étymologiquement, celui qui ne parle pas encore). Bien entendu, au cours du temps, le système des rapports personnels de x évolue : des objets qui n’existaient pas pour lui se mettent à exister ; d’autres cessent d’exister ; pour d’autres enfin le rapport personnel de x change. Dans cette évolution, l’invariant est l’individu ; ce qui change est la personne.
4. Pour expliquer la formation et l’évolution de l’univers cognitif d’une personne x, il convient d’introduire une quatrième notion fondamentale, celle d’institution. Une institution I est un dispositif social « total », qui peut certes n’avoir qu’une extension très réduite dans
l’espace social (il existe des « micro-institutions »), mais qui permet – et impose – à ses sujets, c’est-à-dire aux personnes x qui viennent y occuper les différentes positions p offertes dans I, la mise en jeu de manières de faire et de penser propres.
Ainsi nous sommes neutres à déterminer les avantages et les inconvénients selon les institutions à proprement dits.
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Production de vidéos |Auteurs des vidéos est à l'aise à la production des vidéos| sans expertise sera un défi
Constructivism dans un cours à distance| production de synthèse en s'aidant vidéo ou production d'un vidéo en s'aidant d'une scénarisation
Voilà la liste peut continué!
Georges.T